Qui doit on croire lorsqu’ on regarde un cercle? Comment relier un état de corps à un choc de l’espace ou un choc de l’autre?
alors que Bruce Nauman is bouncing in the corner, met son corps face à l’évidence d’un espace concret et réalise les premières limites de ce rapport entre la perception et le mouvement et sa propre image.
Pendant ce temps là…notre ami Robert est dans le feutre, les lamelles, comme un repère, trace d’un espace révolu.« L’empilage aléatoire, la libre superposition, la suspension donnent une forme temporaire aux matériaux. Le hasard est accepté et l’indétermination est sous-entendue, puisque le remplacement produira une autre configuration. Renoncer aux formes et aux agencements durables est positif. Le refus de continuer à esthétiser la forme en la traitant comme une fin prescrite fait partie du travail. « – Robert Morris,
Chacun révèle une relation différente face à l’espace et la construction ou abolition de celui-ci.Le premier s’attaque à ce qui constitue ce qu’on appèlera le White Cube, et l’autre l’éclate, dépasse les limites, donne une mollesse aux bords de cet art contemporain un peu deschiens.
L'exploration du rapport physique entier, en tant que corps humain vivant permet une vision plus sensible de la creation.
il n'a pas d'emballage nécessaire pour apprécier, déprécier, et pourquoi pas comprendre l'état de corps d'une oeuvre.
la suite au prochain épisode…
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